vendredi 2 mai 2014

Catastrophe, on part d’Olmi Cappella !

C’est l’heure du départ … les adieux provoquent un pincement au cœur de chacun d’entre nous. Personne ne veut repartir. Cependant, avant de remonter dans le bateau qui nous ramènera sur « le continent » comme le disent les Corses, nous allons faire quelques dernières emplettes dans les galeries de souvenirs de la Rocade ( juste avant Bastia sur la commune de Furiani) pendant trente minutes .
Il pleut , il tonne et les éclairs déchirent le ciel . notre après-midi plage tombe à l’eau … Mais nous ne pouvions tout de même pas passer si près sans aller mettre au moins les pieds dans le sable. Nous faisons dons un dernier arrêt à la plage de la Marana, en longeant d’ailleurs le stade de Furiani bien connu de nos amis footballeurs.
Finalement, bravant la tempête et ne pouvant plus résister à la tentation,, certains élèves téméraires se jettent dans les froides vagues de la mer ! Les filles ont quand même plus de courage que les garçons , elles y sont allées les premières …
Plage de la Marana

 Fin de la baignade, nous ne pouvons pas remonter dans le bus tout mouillés : nous devons alors nous changer au bord de la route … Les filles sont plus organisées : elles avaient tout prévu. Quant aux garçons, ils n’avaient pas pensé aux habits de rechange  restés dans les valises … Aboulher en a même perdu son pantalon. Heureusement, il l’a retrouvé lorsqu’on a déchargé les bagages du car.
Ainsi s’achève notre séjour en Corse et c’est donc avec un pincement au cœur que nous revenons, mais aussi avec la tête remplie de super souvenirs et un groupe d’internes encore plus soudé ! C’est pourquoi, nous tenons particulièrement remercier les professeurs qui nous ont emmenés, mais aussi tous ceux qui nous ont aidé à financer notre projet et aux Corses  qui contrairement à ce qu’on dit, sont très accueillants et très agréables ! J’ai même remarqué que la plupart d’entre eux avaient les traits du visage très souriants et heureux ! On dit très souvent que si on va en Corse, on tombe amoureux de cette contrée sauvage, et aujourd’hui, je crois que c’est vrai.


   Cette douce mélancolie et cet instant de poésie est l’œuvre de Chloé sous le charme de Kalliste ! Comme il fallait une dactylographe, qui s’y est collé ? Devinez ! le professeur d’orthographe. 

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